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02 mai 2008 |

Le mythe Galilée

Blog_serror Patrice Gélinet anime sur France Inter une émission quotidienne d’une demi-heure intitulée « 2000 ans d’histoire » au cours de laquelle il interroge un « expert » sur un événement historique, la plupart du temps à l’occasion de la sortie d’un ouvrage. Lorsqu’il choisit de s’attaquer à l’histoire des sciences, il lui arrive de faire appel à un romancier. Tel fut le cas pour l’émission du 29 septembre 2006 consacrée au procès de Galilée (cela ne date pas d’hier mais les sciences sont rarement évoquées). L’invité était Frédéric Serror, auteur de Les hommes de Galilée (Le Pommier, 2006, 392 p., 23€), dont les personnages scientifiques centraux sont Peiresc et Gassendi. C’est dans le dernier tiers de cette fiction qu’est relatée la comparution de Galilée devant le Saint Office au travers du regard que porte sur l’événement une nièce imaginaire de Peiresc dépêchée à Rome par son oncle. Dans une postface, Serror nous informe que « la plupart des faits rapportés dans ce livre proviennent de recherches, d’études ou de documentations disponibles ». Il ne nous en dit pas plus sur ses sources mais nous percevons qu’il fait sienne la thèse de Pietro Redondi (Galilée hérétique, Gallimard, 1985, 456 p.) selon laquelle Galilée n’a pas été condamné pour ses convictions coperniciennes mais pour ses idées atomistes. Sans mentionner que cette thèse, originale et séduisante au premier abord, est loin de susciter l’adhésion des chercheurs. Faute d’une authentique expertise, Patrice Gélinet n’aura pas contribué à nous éclairer sur la complexe affaire Galilée. Il aura, avec l’aide de Serror, alimenté le mythe.

Colette Le Lay, centre François Viète (Université de Nantes)

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LIVRE À PARAÎTRE EN JANVIER PROCHAIN :
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AutoÉdition Méguila

présente

les ouvrages de

Joël COL

. Entre Galilée et l’Église : la Bible.
. Un témoin absent du procès parle.
. Bible et Science. Création ou évolution ? Quelques réflexions.

En vente en librairies : FNAC, DECITRE
En ligne : PRICEMINISTER, AMAZON
ou chez l’auteur
Distribués par Société Française du Livre
Pour toute correspondance, écrire à :
Joël COL
[email protected]
Consulter : Joël Col Facebook

Condamnation de Galilée
. Entre Galilée et l’Église : la Bible
. Un témoin absent du procès parle

En écrivant son premier ouvrage ENTRE GALILÉE ET L’ÉGLISE : LA BIBLE, l’auteur a mis en évidence, au moyen d’une étude sémantique approfondie, que les découvertes scientifiques de Galilée – soleil ne tournant pas autour de la terre - étaient en parfait accord avec les Textes Originaux de la Bible, mais en désaccord avec leurs traductions.
Cette réalité, qu’on ne saurait placer sous le boisseau, fait des Textes hébreux et grecs un témoin et défenseur de Galilée de premier plan.
Absents du procès du savant, ils ont fait dire à Spicace, l’un des personnages de ce second livre quelque peu romancé, que « les absents n’ont pas toujours tort.»

Ce dialogue montrera que l’Homme se complaît, comme par le passé, à rester dans ses traditions et à rejeter la Vérité. Mais, cette Vérité, ne finit-elle pas toujours par triompher ?


Bible et Science. Création ou évolution ?
Quelques réflexions

Chapitres
1. Introduction : Création ou évolution ?
2. Créationnistes, évolutionnistes, ou querelle entre religieux et non religieux
3. L’évolutionnisme : Lamarck et Darwin
4. Les girafes
5. L’homme n’a pu se grandir
6. Canins et bovins
7. L’homme descendrait du singe !
8. Et Dieu cria…
9. Les jours de la création de la Genèse
10. Vénus et les autres planètes
11. L’écriture
12. Conclusion

Chaque chrétien devrait se sentir concerné par les sujets traités.
À votre disposition pour répondre à toute question concernant ces ouvrages d’importance.
Bien amicalement,

Joël Col.

 

Galilée

Un témoin absent du procès parle


En écrivant son premier ouvrage ENTRE GALILÉE ET L’ÉGLISE : LA BIBLE, l’auteur a mis en évidence, au moyen d’une étude sémantique approfondie, que les découvertes scientifiques de Galilée étaient en parfait accord avec les Textes Originaux de la Bible, mais en désaccord avec leurs traductions.
Cette réalité, qu’on ne saurait placer sous le boisseau, fait des Textes hébreux et grecs un témoin et défenseur de Galilée de premier plan.
Absents du procès du savant, ils ont fait dire à Spicace, l’un des personnages de ce second livre quelque peu romancé, que « les absents n’ont pas toujours tort.»

Ce dialogue montrera que l’Homme se complaît, comme par le passé, à rester dans ses traditions et à rejeter la Vérité. Mais, cette Vérité, ne finit-elle pas toujours par triompher ?
ISBN 978-2-9520299-1-9


 

AutoÉdition Méguila a le plaisir de vous annoncer la parution du second livre de Joël Col :
GALILÉE. Un Témoin absent du Procès parle
Consulter : autoedition.meguila.monsite-orange.fr

 

Une précision.

LANGUES ANCIENNES.
Le verbe grec ANATELLOO.

Mais pourquoi a-t-on donc fait « SE LEVER » le soleil avec le verbe ANATELLOO ? L’étymologie de ce verbe grec autorise-t-elle une telle traduction ?

Dans mon ouvrage Entre Galilée et l’Église : la Bible, j’ai étudié ANATELLOO à partir de 4 sources :
. Version de la Septante,
. Textes d’auteurs grecs anciens,
. Dictionnaires grecs-français,
. Textes originaux grecs du Nouveau Testament.

Dans cette étude, j’analyse également d’autres verbes - hébreux et grecs - qui, sous l’influence géocentrique, ont été faussement traduits.
Et ce sont ces erreurs de traduction qui ont ainsi impliqué la Bible dans la condamnation de Galilée par l’Église.

ANATELLOO se rencontre encore en relation avec d’autres sujets grammaticaux :
. les cheveux, la barbe,
. les dents,
. une plante,
. la fumée, la flamme,
. les épines.

L’étude que je publie m’a conduit à conclure qu’ANATELLOO ne déplace pas plus le soleil que les autres sujets sus cités.
Ainsi, si les traductions de la Bible avaient été fidèles aux Textes originaux hébreux et grecs, Galilée, pour avoir rejeté le principe de la rotation du soleil autour de la terre, n’aurait pas été condamné pour « avoir tenu et cru une doctrine fausse et contraire aux saintes Écritures ».

Je suis à la disposition de chacun pour répondre à toute question relative à cette étude.

Joël Col

Écrire à :
[email protected]

 

LETTRE AU VATICAN
Condamnation et réhabilitation du savant Galilée

Il n'était pas de mon intention de diffuser cette lettre sur l'Internet.
Je pensais retenir l'attention du Vatican en lui rappelant l'existence de mon ouvrage.
Sa réponse évasive et brève, rejetant ainsi toute collaboration, m'impose de publier cette correspondance qui confirme l'embarras et le mutisme des milieux religieux à l'égard de mon étude.
Consulter :
monsite.orange.fr/autoedition.mgl
Joël Col


LETTRE AU VATICAN : Décembre 2009

Aux bons soins de la LIBRAIRIE EDITRICE DU VATICAN
À l’attention de Monsieur l’Archevêque Gianfranco Ravasi,
Président du Conseil Pontifical pour la Culture.

Veuillez m’excuser pour la liberté que je prends en vous écrivant.
J’ai élaboré une étude sur l’implication de la Bible dans la condamnation de l’astronome Galilée, étude à laquelle j’ai consacré plus de douze années - je dois dire aussi que je l’ai traduite en anglais et en espagnol.
 Et dans cette étude - intitulée Entre Galilée et l’Église : la Bible - je démontre, verset après verset, que si les traductions de la Bible avaient été fidèles à leurs Textes originaux (hébreux et grecs) Galilée n’aurait pas été condamné par l’Église pour “avoir tenu et cru une doctrine fausse et contraire aux Saintes Écritures”.
De nombreux arguments ont été avancés par l’Église pour tenter d’expliquer cette douloureuse Affaire, mais, il faut bien le constater, ces arguments n’ont jamais mis un terme à ce Conflit (Galilée n’ayant toujours pas été officiellement réhabilité par l’Église). On ne saurait négliger ce fait d’importance.
Voilà 6 années que je publie cet ouvrage - mon premier exemplaire ayant été envoyé au Cardinal Paul Poupard le 14 novembre 2003. À ce jour, je n’ai pas eu la moindre contestation sur cette étude de la part du Vatican, ni d’ailleurs.
 Mon souhait serait de voir les autorités catholiques mettre un terme à la condamnation du savant en proclamant officiellement sa réhabilitation. 
Mais auparavant, il sera nécessaire que ces autorités reconsidèrent :
. le motif de sa condamnation (motif rédigé par l’Église à l’occasion du procès du 22 juin 1633 “avoir tenu et cru une doctrine fausse et contraire aux saintes Écritures”), 
. ces erreurs de traduction de la Bible (mon analyse démontrant que dans les Textes originaux le soleil n’est pas dépeint comme un astre tournant autour de la terre, contrairement à ce qu’affirment leurs nombreuses traductions).
Mon étude, par voie de conséquence, vise à ôter le discrédit qui est tombé sur ce Livre Saint. Et je pense ainsi avoir répondu aux souhaits du Pape Jean-Paul II qui déclarait :
“Pour aller au-delà de cette prise de position du Concile, je souhaite que des théologiens, des savants et des historiens, animés par un esprit de sincère collaboration, approfondissent l’examen du cas Galilée, et, dans une reconnaissance loyale des torts, de quelque côté qu’ils viennent, fassent disparaître les défiances que cette affaire oppose encore, dans beaucoup d’esprits, à une concorde fructueuse entre science et foi, entre Église et monde. Je donne tout mon appui à cette tâche qui pourra honorer la vérité de la foi et de la science et ouvrir la porte à de futures collaborations.”

Je suis à votre entière disposition pour répondre à toute question concernant cette étude.
 En attendant de vous lire, je vous prie d’accepter, Monsieur l’Archevêque, mes très respectueuses salutations,
Joël Col



Réponse du Secrétariat du Vatican le 25 mars 2010.

Monsieur,
Vous avez envoyé, voici déjà quelque temps, un courriel au Conseil Pontifical de la Culture. Vous y parlez de Galilée et de vos recherches sur la question intéressante de la traduction de la Bible à laquelle Galilée avait accès. 
Le Conseil Pontifical de la Culture, qui n'est pas la Congrégation pour la Doctrine de la Foi, ne peut que vous encourager dans ces recherches. Comme vous le savez, c'est à travers l'initiative STOQ que ce Dicastère agit pour un dialogue renouvelé entre hommes de science et hommes de foi.
Veuillez croire en notre cordial dévouement,
Le Secrétariat.


Réponse au Secrétariat le 25 mars 2010.

Monsieur,
N’ayant pas eu réponse de Monsieur l'Archevêque Gianfranco Ravasi à mon courriel de décembre 2009, renouvelé en mars 2010, je considère que le Vatican ne donne aucune suite à ma requête. 
Je pense aussi que les responsables de l’organisme STOQ (Science, Theology and the Ontological Quest) que vous citez auraient dû, en toute logique, être informés par vos Services de ma demande.
 Et je constate que mon étude – en votre possession depuis novembre 2003 – n'a suscité ni intérêt ni critique de la part des responsables en charge de cette Affaire. 
Permettez-moi de vous exprimer ma déception.
Veuillez agréer, Monsieur, mes respectueuses salutations,
Joël Col

 

AFFAIRE GALILÉE
Quand l’embarras crée une unité de comportement...

Introduction
Que nous soyons auteurs ou lecteurs, nous réagissons tous selon nos propres concepts, concepts qui nous conduisent à faire des analyses diverses sur des sujets donnés.
Il est des sujets qui conduisent à émettre des analyses différentes, car ils font appel à notre subjectivité.
. Si cette subjectivité est tendancieuse, elle conduira, bien souvent, au rejet pur et simple du raisonnement d’autrui.
. Si elle est bien fondée, elle permettra, par contre, d’accepter - ou tout au moins de reconnaître - la logique de raisonnement de chacun, même si cette logique débouche sur des conclusions différentes. Cette subjectivité pourra être qualifiée d’ouverture d’esprit.
Il est donc des sujets pour lesquels il est difficile d’établir une seule et même analyse, acceptée de tous, car elle fait appel à la subjectivité des uns et des autres.
Mais il est d’autres sujets qui font appel à une pure analyse de faits. De ces sujets devrait donc apparaître un consensus d’idées, à condition, toutefois, que l’objectivité ne soit pas détrônée par une subjectivité sous-jacente forte, venant d’un esprit sectaire.
L’analyse de mon étude “Entre Galilée et l’Église : la Bible” impose aux divers commentateurs de suivre des règles grammaticales et sémantiques, bien établies.

Qui sont ces commentateurs ?
Il y a :
ceux qui ont lu l’étude,
ceux qui ne l’ont pas lue.
. Les premiers, bien qu’ayant été peu nombreux, ont tous émis des commentaires très favorables.
. pour les seconds, il faudra considérer :
- ceux qui, à cause du sujet traité et pour des raisons personnelles, ne lui ont témoigné aucun intérêt,
- ceux qui, tout en n’ayant pas lu l’ouvrage, l’ont a priori critiqué vertement ou rejeté. Peu avisés ils ont manifestement entremêlé objectivité et subjectivité, rejetant d’emblée les bases d’analyse qu’impose ce type d’ouvrage.

Pourquoi ce rejet a priori ?
Ce rejet vient de la part de personnes associées à des milieux très divers :
. les unes appartenant à des communautés catholiques, protestantes, évangéliques ou juives,
. les autres à des milieux agnostiques ou athées.
Mais il est un fait surprenant : tous, qu’ils soient religieux ou non, ont eu une même réaction : mutisme quasiment complet à l’égard du livre.
Les religieux ont des concepts variant suivant leur appartenance à tel ou tel groupe, et les athées ou agnostiques également. Mais pourquoi donc se rangent-ils tous dans une même unité de comportement : mutisme ?
. Les Protestants et les Évangéliques qui professent leur confiance dans les Saintes Écritures auraient dû se réjouir du fait que cette étude sémantique approfondie démontre que les Textes originaux de la Bible, depuis plus de 3000 ans, expriment, en langage clair, ce que Copernic et Galilée ont découvert et proclamé il n’y a qu’un peu plus de trois siècles et demi : la non-rotation du soleil autour de la terre.
Mais cette vérité les dérange, non pas du point de vue scientifique, mais du point de vue biblique - leur Version de la Bible, à laquelle ils sont fortement attachés, affirmant la rotation du soleil autour de la Terre, se trouve ainsi contredite par cette étude. Ne voulant corriger leurs traductions, ils persistent donc dans l’erreur et dans le discrédit qui est tombé à tort sur la Bible lors de la condamnation du savant Galilée.
. Les catholiques, en refusant également cette mise en conformité de leurs Versions avec les Textes originaux, partagent avec les Réformés la même responsabilité d’erreur et de discrédit de la Bible.
Il est bien évident que l’Église catholique (non seulement de l’époque, mais aussi d’aujourd’hui), n’ayant pas décelé ces erreurs de traductions - elle, sensée détenir la suprématie en la matière - devra reconnaître officiellement cette lacune et la résoudre. Pour l’instant, elle n’a développé que des arguments qui n’ont pas mis un terme à cette problématique Affaire, Galilée n’ayant toujours pas été réhabilité.
. Les athées ou agnostiques, même s’ils peuvent avoir quelques bonnes raisons de critiquer les religieux et les Versions de la Bible, se trouvent embarrassés en apprenant que les Textes originaux, dans ce domaine scientifique y compris, ne peuvent être contestés. Alors, comme les autres, ils s’abstiennent de tout commentaire.

Le but de mon étude est d’obtenir :
. non seulement la réhabilitation officielle de l’astronome Galilée,
. mais aussi une véritable réhabilitation de la Bible - ses Textes originaux n’ayant jamais proclamé l’erreur de la rotation du soleil autour de la terre.
Depuis plus de six années je m’applique, dans mes divers courriers et courriels, à rappeler ces arguments, sans succès.
À quelques rares exceptions près, les médias (presse, radio, télévision), les Associations organisant Salons du Livre ou Conférences pratiquent cette même “loi du silence”.

Galilée a grandement marqué l’histoire. N’y a-t-il pas eu, durant l’année 2009, de nombreuses manifestations scientifiques le concernant et d’autres ne sont-elles pas prévues en 2010 ? Mais pourquoi donc ne veut-on pas aborder la question de sa réhabilitation ? Ne voudrait-on pas voir, un jour, Galilée enfin réhabilité ?

En conclusion :
Un terme doit être mis à la condamnation injuste de l’astronome. Non seulement sa réhabilitation doit être officialisée mais aussi celle de la Bible eu égard à ses Textes originaux.
En décembre 2009, je suis intervenu auprès des autorités compétentes.
Je reste à la disposition de toute personne ayant à cœur de voir la Vérité triompher.
J’exprime ma reconnaissance à ceux qui m’ont aidé et encouragé dans cette tâche délicate. Tous mes remerciements, également, aux libraires qui ont bien voulu accepter d’exposer mon livre dans leurs rayons.

Joël Col

Pour plus d’informations consulter :
http://monsite.orange.fr/erreur.verite
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Faire également recherche avec “joël Col” Galilée.


 

Condamnation de Galilée.
La grande question qui se posait à l’époque de Galilée était : “Quel astre tourne autour de l’autre ? Le soleil autour de la terre ou la terre autour du soleil” ?
En affirmant la rotation de la terre autour du soleil, Galilée se trouvait en contradiction avec les scientifiques, les philosophes, l’Église et la Bible qui, tous, soutenaient la thèse contraire.
Or, dans mon étude “Entre Galilée et l’Eglise : la Bible”, je démontre que Galilée était en accord avec les Textes originaux hébreux et grecs, mais en désaccord avec leurs traductions. En d’autres termes, si les versions de la Bible avaient été fidèles aux Textes originaux, Galilée n’aurait pas été condamné pour avoir “tenu et cru une doctrine fausse et contraire aux saintes Écritures”.
Par cette étude, j’œuvre pour obtenir la réhabilitation officielle de Galilée et la mise en conformité des traductions de la Bible avec leurs Textes originaux qui, en aucun cas, ne peuvent être tenus responsables de la condamnation du savant.
Joël Col

Pour plus d’informations consulter :
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