Bagages
J’ai raté le déjeuner annuel de l’ANRT ! L’association nationale pour la recherche et la technologie y réunit la crème de la crème des décideurs en ces domaines, dans les entreprises et les organismes de recherche publique.
J’ai raté le déjeuner annuel de l’ANRT ! L’association nationale pour la recherche et la technologie y réunit la crème de la crème des décideurs en ces domaines, dans les entreprises et les organismes de recherche publique.
En attendant mon bus préféré, le 58, à la Samaritaine, une surprise : des visages de bébés, âgés de quelques minutes seulement, sont accrochés le long du mythique magasin fermé depuis de longs mois.
Le président Barack Obama vient de nommer le prix Nobel de physique 1997, Steven Chu, à la tête du département à l’énergie (DoE) des Etats-Unis. Un choix qui lui permet de faire d’une pierre deux coups. Un, il clame ainsi haut et fort sa volonté de placer la question du réchauffement climatique et la recherche de nouvelles ressources énergétiques au premier plan de ses priorités. Deux, il concrétise son désir de s’entourer de scientifiques.
La chimie comme vous ne l'aviez jamais vue (cliquez ici). On croirait une blague de potaches, mais c'est l'Union européenne qui a produit ce clip. Cela fera rire surtout les chimistes et ex-chimistes dont je suis. Quant à l'efficacité pour intéresser les jeunes à la science, je me garderais de me prononcer.
Lire la suite " Google géolocalise les droits de l’homme " »
"En 2009, le CNRS recrute 300 chercheurs (f/h) dans tous les domaines de la recherche." C'est ce qu'annonce en pleine quatrième de couverture le Journal du CNRS sur fond d'images montrant des jeunes gens en pleine action, sur une plage, sur une dune ou en pleine mer, avec blouses blanches, stations de mesures, microscopes... On croirait une publicité pour l'Armée de Terre, comme on en voit régulièrement dans les couloirs du métro parisien, montrant d'autres beaux jeunes gens et promettant de "vous emmener jusqu'au bout de vous mêmes".
Un an après la mise en place du nouveau système de crédit d’impôt recherche, le ministère de l’économie et celui de la recherche exhortent les entreprises à utiliser cet outil fiscal qu’ils ont rénové. Une vraie manne. Rappelons les faits. Avant 2008, les entreprises pouvaient déduire annuellement de leur impôt sur le bénéfice 30% de l’accroissement de leurs dépenses de recherche et de développement (R&D) à hauteur de 16 millions d’euros. Depuis le 1er janvier 2008, ce sont toutes les dépenses de R&D qui sont déductibles (réduction de 30% des dépenses jusqu’à 100 millions d’euros et 5% ensuite). Et il n’y a plus de plafond.
Et si la science pouvait servir à éradiquer la pauvreté dans le monde ? Vous me direz, ça se saurait… mais a-t-on vraiment essayé ? En tous cas, il n’est jamais trop tard.
Aussi, on ne peut que saluer l’initiative du Collège de France qui, associé à l’agence française de développement vient de transformer pour cinq ans sa chaire internationale en une chaire « Savoirs contre pauvreté ». La première titulaire de cette nouvelle chaire est une toute jeune économiste française de 36 ans Esther Duflo, professeur au MIT et spécialiste du développement et du micro-crédit.
Le journal Chaos, Solitons and Fractals ne publie pas que des articles de Mohamed El Naschie, son rédacteur en chef. J'ai trouvé dans les sommaires des récents numéros un auteur français, Michel Planat, de l'institut FEMTO-ST (Franche-Comté Electronique Mecanique Thermique et Optique - Sciences et Technologies), qui a accepté de me donner son opinion. Je l'en remercie (un autre auteur récent de CSP a décliné, pour ne pas associer son nom à une polémique dont je lui ai appris l'existence).
Tandis que le Japon, la Chine et l'Inde se battent pour devenir des nouveaux grands de la conquête spatiale, que fait l'Europe ? Grâce à l'université Cambridge, nous, Européens, sommes les premiers à avoir envoyé des nounours en peluche dans l'espace.
Quatre " Teddynautes " emportés par un ballon d'hélium viennent de s'offrir un voyage de deux heures à 30 kilomètres d'altitude. Et ils en ont même rapporté des informations sur les conditions atmosphériques qui règnent dans la stratosphère. Espérons que l'on pourra bientôt fêter cela autour d'un verre de la première bière produite (par le brasseur japonais Sapporo) à partir d'orge cultivé dans la station spatiale internationale.
En ces jours de crise, c'est une bonne nouvelle de savoir que l'on peut encore rêver grâce à la science.
Lien : http://www.admin.cam.ac.uk/news/dp/2008120401