Vous êtes sur BLOGS > La quête du boson de Higgs

 

15/06/2012 |

En attendant le Higgs

S’il est un résultat attendu en physique, c’est bien la découverte du boson de Higgs. Et pour cause ! Cette nouvelle particule, si elle était révélée, permettrait enfin de comprendre pourquoi certaines particules ont une masse.

Où en sommes-nous aujourd’hui ? La traque du boson repose sur l’utilisation d’instruments capable d’explorer une large gamme d’énergie, comme le Grand collisionneur de hadrons (LHC) à Genève. Mais au moment où j’écris ces lignes, les mesures obtenues permettent surtout d’affirmer là où le boson n’est pas.

En effet, les différentes expériences ont éliminé au fur et à mesure les valeurs possibles pour la masse du boson de Higgs. L’état de l’art daté de mars 2012, issu des résultats obtenus par différents détecteurs (Tevatron au Fermilab à Chicago, CMS et Atlas au LHC) montre qu’il ne reste plus qu’une fenêtre très restreinte, autour des 125 gigaélectronsvolts (GeV). Et fin 2012, trois à quatre fois plus de données qu’en 2011 devraient avoir été collectées et permettre de trancher quant à l’existence du boson de Higgs.

En attendant, la tension monte au sein de notre communauté. Les analyses de données vont bon train. Chaque expérience travaille d’abord de son coté, pour ensuite mettre en commun les résultats de manière à les préciser. Les fruits de ces analyses vont être dévoilés d’abord en Australie en juillet, puis au Japon en Novembre et enfin à Genève en Décembre. Je vous ferai suivre, ici, tous ces événements au rythme des différentes annonces.

Réagir / Réactions

Commentaires

Flux You can follow this conversation by subscribing to the comment feed for this post.

 

L'hypothèse de l'existence d'une particuletrès massive a été émise par 2 chercheurs François ENGLERT (ULB BRUXELLES) et Robert BROUT(Université de Cornell)avant que Peter HIGGS n'y fasse allusion.Pourquoi ne pas citer les 2 premiers?Paresse???

 

Si épistémologie et recherche scientifique prédisent avec logique l’unification des forces fondamentales de l’Univers et assurent mordicus qu’une théorie physique plus simple et qui permettrait d’expliquer et de reformuler les découvertes des autres serait nécessairement plus ‘’vraie’’ que ces autres alors cela voulait dire que la théorie dite standard est dans l’erreur.
En effet un ‘’chercheur-théoricien’’ indépendant démontre qu’un seul modèle de quantum d’énergie ‘’chosifié’’ en propagation et interactions dans un espace-éther-quantique permettrait d’expliquer de façon très simple comment tout CE QUI EST s’est complexifié au fil de l’évolution de notre Univers.
Cette dernière hérésie «Un quatre à quatre pour TOUT terRIEN» a été publiée (rapidement, maladroitement et pour cela en refonte quasi quotidienne) sur un blog internaute de Sciences & Avenir.
Le truc observé au LHC est une prédiction de cette hérésie.
D’après ce nouveau paradigme
http://bit.ly/K6t3JD
ledit boson serait en effet au proton, ce qu’est un photon à l’électron : un bourrelet-soliton-anneau produit sur l’étrave de cette particule (elle-même formée d’un anneau-soliton à la ligne d’espace bouclée sur elle-même) se déplaçant ainsi en s’y propageant dans un espace-éther-quantique.
L’anneau-soliton d’étrave étant ‘’lâché’’ sous forme de photon donc émis par un électron accéléré lorsque cette ’’particule’’ est stoppée ou change brutalement de direction.
Et dans cet ‘’espace-éther-quantique’’ le mouvement absolu est expérimentalement et très simplement mis en évidence.
De même que la façon dont ce qui est appelé particule de matière se structure à partir des quanta d'énergie en interactions.

 

L'annonce faite le 4 juillet 2012, concernant la découverte d'une nouvelle particule au CERN, marque un tournant décisif dans l'histoire de la physique des particules élémentaires. Si on pense que la nouvelle particule est le boson de Higgs, alors on se trompe. La masse du boson de Higgs est nulle, la nouvelle particule correspond au septième quark manquant. Le modèle standard doit être revu et complété, afin d'édifier une théorie cohérente et complète. La masse, cette grande inconnue, n'est pas dû à un principe de véhiculation mais à celui de la décomposition de la charge en masse. L'énergie que renferme la charge se transforme en masse par intermédiaire du boson de Higgs. Le rôle de ce dernier n'est de donner la masse aux autres particules, mais contribue on s'accouplant à la charge des particules à la décomposition de l'énergie de la charge en masse.
Cordialement

 

La masse, cette grande inconnue.
Dire que les trous noirs ont une masse est une grave erreur. La masse ne se conserve pas, elle se condense pour devenir nulle. Les particules élémentaires sont semblables à des cordes ressorts qui vibrent en s’allongeant et en se réduisant. En phase repos, de réduction, la masse des particules se condense et s’annule, et plus que les particules s’allongent et plus que la masse réapparait. D’après cette propriété de la masse, tout l’Univers peut être réduit à quelque chose d’insignifiant et de masse nulle, la singularité gravitationnelle des trous noirs résulte de ce principe.
La dualité
Qu’es ce qu’une onde ? Lorsque les photons arrivent sur les fentes de Young, ils opèrent une division exactement de la même manière que la division cellulaire, une fonction exponentielle de base 2. Chaque photon est une sommation d’une infinité de photons condensés dans un seul et unique photon, et de même pour les autres particules de la matière.
La gravité
Lorsqu’on communique une force à un objet il se déplace, savons nous pourquoi ? Au contact avec l’objet, l’énergie potentielle, fourni par une source quelconque, se transforme à une énergie cinétique qui est absorbée par tous les points de l’objet. Ce sont, plus précisément, les gluons, médiateurs de l’interaction forte, qui absorbent cette énergie. En se faisant, ils libèrent l’impulsion maitrisée des protons et des neutrons. Ainsi, la force communiquée à l’objet ne donne pas l’impulsion mais la libère, et que l’impulsion est maitrisée ou emprisonnée dans la matière. Quant un objet est en mouvement sa masse augmente du fait de la libération de la masse condensée. Si on parvient à ôter les gluons aux protons et aux neutrons, il y aurait une impulsion avec une masse énorme qui va réapparaitre.
Le nouveau principe de la masse réuni toutes les théories en apportant la résolution définitive et finale au système de l’atome. Les déchets nucléaires ne seront qu’un mauvais souvenir, et un nouvel âge d’or de l’atome peut commencer.
L’avenir de l’Univers
L’expansion de l’Univers tend vers une fin où l’Univers va s’inverser sur lui-même pour se transformer un gigantesque trou noir, ce qui va faire retourner l’Univers à son point de départ pour une nouvelle expansion. S’inverser sur lui-même veut dire, que les 99% de la masse cachée de l’Univers, qui se compose essentiellement d’antiquantum d’énergie, va se transformer à des quanta d’énergie par inversion des antiquanta. C'est-à-dire aussi, que l’Univers ne serait qu’un enfer.

 

La singularité initiale de base
Il existe un intervalle unité fondamental qui diffère de tous les autres intervalles de l’Univers, toutes les grandeurs physiques s’y trouvent infinies. Cette singularité se localise, exactement, au dessous du niveau fondamental de l’atome d’hydrogène. Si un électron, ou une autre particule, s’aventure à descendre à cet intervalle, en réduisant sa longueur d’onde au maximum, il se transforme à une onde. L’intervalle unité est l’intervalle de l’énergie, siège du quantum, il constitue la barrière entre le corpusculaire et l’ondulatoire. Si un système physique ajuste sa longueur d’onde à celle de cet intervalle, il va être privé de toutes ses qualités corpusculaires. Dans cet intervalle singulier, la masse est nulle, la densité est infinie, l’espace et le temps sont confondus et les interactions sont simultanées. Un minuscule trou noir enterré dans les profondeurs de la substance physique, où chaque particule admet cet intervalle pour base. On peut additionner une infinité d’autres intervalles, dans un seul et unique intervalle, sans qu’il n’y ait aucune modification des caractéristiques physiques de l’intervalle. Cependant, et malgré la grande différence, toutes les lois physiques qui définissent l’Univers ont été déduites des lois qui règnent dans cet intervalle.

 

Le boson de Higgs
L’idée, que les particules élémentaires ont une masse nulle au départ et c’est grâce à un boson qu’elles acquirent une masse, n’est pas si mauvaise, mais il ne se déroule pas comme on a pu imaginer. Le boson de Higgs fait partie intégrante de chaque particule, sauf pour le photon. Pour confectionner un électron il nous faut deux choses, premièrement une charge négative, puis un boson de Higgs négatif qui a pour rôle de permettre à l’énergie de la charge de se transformer en masse. Avant cette opération, la charge négative et le boson se trouvent dans l’intervalle unité avec une masse nulle, lorsque l’énergie de la charge se transforme en masse l’électron opère un saut en acquérant une masse, la portée du saut et la masse sont en fonction de la sommation de la charge. Si on avait les moyens de voir l’infiniment petit au ralenti, voila ce qu’on verrait : La charge somme de l’électron, sans le boson, se décompose en s’allongeant dans le sens de la longueur pour former une minuscule épingle ou corde, la masse de l’électron ne réapparait que pendant cette phase, puis l’électron réduit ou rétracte sa longueur, dans le même sens de l’allongement, pour retrouver sa forme initiale et recommencer une nouvelle (décomposition-réduction) qui se répètent indéfiniment. Le boson de Higgs demeure, inchangé, à la base constituant ainsi le socle de la décomposition. On peut comparer ce mouvement à la façon dont un bébé rampe, la première phase lorsqu’il allonge ses membres supérieur et la seconde phase lorsqu’il rétracte ses membres inférieurs. Etant donné la vitesse des interactions, la décomposition et la réduction de la charge se traduisent par des sauts qu’effectues l’électron pour se mouvoir. En s’accouplant à la charge, le boson de Higgs n’apporte pas la masse mais l’information complémentaire de la charge, ceci afin de lui permet de se transformer en masse !! Compte tenu de nos connaissances actuelles de l’infiniment petit, il nous faut encore des siècles pour parvenir à déterminer l’identité réelle des particules élémentaires, car la complémentarité qui se joue entre la charge et le boson peut être comparée à celle qui est à la base des deux brins d’ADN. C’est loin, très loin même, mais nous avons une porte d’entrée privilégiée, un système parfait capable d’appréhender cette complexité dans ses moindres détailles.

 

La théorie des quanta. Loi diagonale
Dans notre système de référentiel, on ne peut disposer les objets que l’un à côté de l’autre de façon à ce que le cardinal de l’ensemble des parties d’un ensemble soit, constamment, strictement supérieur au cardinal de l’ensemble plein. Dans l’intervalle unité, cité plus haut, où se manifeste la singularité initiale de base, les choses diffèrent et les objets sont disposés l’un dans l’autre, sans qu’il n’y ait aucune modification des caractéristiques physiques de l’intervalle. L’ensemble de toutes les voitures, par exemple, dans l’absence de la barrière de la masse, peut être réduit à une seule et unique voiture.
L’ensemble des quanta d’énergie admet un système générateur qui est le quantum d’action, la constante de Planck réduite, qu’on convient de noter par ħ0. La loi est simple, c’est l’identité, un quantum ne peut absorber ou s’additionner ou former un paquet avec un autre quantum que si ils sont identiques : ħ0 + ħ0 = ħ1 ; ħ1 + ħ1 = ħ2 ; . . ; ħn + ħn = ħn+1 et pour tout quantum ħq (q entier naturel) on a : ħq = 2(à la puissance q) ħ0, où chaque quantum ħq réuni 2(à la puissance q) quanta d’actions dans un seul et unique système. Un quantum formé de trois quanta d’actions ne peut pas existé, il est impossible de réunir, dans un seul système, un paquet de quantum d’action qui ne forme pas une puissance entière de 2. L’opération inverse est possible, chaque quantum ne peut se diviser qu’en deux quanta identiques. C’est cette loi, qu’on désigne par loi diagonale, qui est à l’origine de la quantification de l’énergie et de toutes les composantes élémentaires, elle se prolonge en quantifiant les orbites des atomes, des planètes, des étoiles et des systèmes d’étoiles autours du centre galactique. Toutes les particules élémentaires, sans exception, subissent la même loi, il existe des électrons qui ne renferment que deux charges unitaires, d’autres quatre, de façon que quelque soit un électron, il renferme 2(à la puissance n) charges unitaires. À chaque électron ep = 2(à la puissance n) e0 (e0 charge négative unitaire) correspond un quantum ħp, que électron peut absorber en l’additionnant à ses charges pour produire l’impulsion. Il y a une exception à cette loi, qui concerne une diffusion, c’est lorsqu’un quantum ħp rencontre un électron de charge ep – 1 , alors le quantum ħp se divise en deux quanta identiques ħp – 1 , afin d’offrir à l’électron l’énergie qui lui convient.
On s’abstient pour le moment d’évoquer les phénomènes périodiques étroitement liés à ce qu’on vient de définir, les quanta nous réservent d’autres surprises.

 

Principe d’incertitude
Nous allons maintenant élucider l’un des plus grands mystères, qui hante la mécanique quantique, connu sous deux appellations différentes, principe d’incertitude ou principe d’indétermination. Ici, on préfère la première appellation, car ce principe ne porte pas sur une impossibilité fondamentale à déterminer les grandeurs physiques avec précision, mais il s’agit, bel et bien, d’une ignorance des grandeurs. Les équations peuvent s’avérer d’une extrême dangerosité, une arme à double tranche, si on ne possède pas une représentation exacte des événements. Un objet quantique peut être parfaitement localisé et son énergie parfaitement définie avec une extrême précision. Alors, quel est le problème ? Ou se trouve la faille ? Premièrement, le corps C, le repère et l’algèbre matricielle qui lui sont associés, valable dans notre système de référentielle, ne sont d’aucunes utilités dans la description complète et exacte de l’état d’un système physique quantique. C’est le repère et le corps de l’espace vectoriel qui font défaut, comment vous voulez mettre un objet quantique dans un repère classique et dire que le concept de grandeur précise n’a pas de sens physique. En premier, Il faudrait commencer par quantifier le repère ― une règle quantique ne se subdivise pas à des intervalles égaux, comme c’est le cas d’une règle classique, mais à des intervalles inégaux, suivant la loi diagonal et où chaque intervalle représente un référentiel ― le repère associé aux particules élémentaires est un repère multidimensionnelle quantifié. Puis connaître qu’est ce que l’identité quantique, car un objet quantique peut être assimilé à une information, un code, permettant de le localiser et de définir ses grandeurs avec précision à l’instant précise, sans faire appel à un processus de suivi. C’est-à-dire, qu’en présence de l’information et d’un repère bien adapté, on pourrait dire qu’à l’instant précise l’objet se trouve dans tel endroit avec telle vitesse, calculés au manomètre près. Le principe d’incertitude doit être remplacé par celui d’individualisme, où chaque particule admet une identité propre, un code spécifique.

 

Principe d’incertitude (suite). La masse
Reprenons notre exemple, cité plus haut, de l’électron vu au ralenti et essayons de s’approcher un peux plus de l’électron dans ses phases de décomposition de la charge et réduction de la masse. Pour simplifier, on choisi un électron du quatrième référentiel qui renferme seize charges unitaires. En phase réduite, du non décomposition de la charge, les seize charges de l’électron se regroupent dans l’intervalle ou référentiel unité, la phase de décomposition se déroule suivant quatre étapes :
• La première étape, l’électron décompose sa charge somme en deux paquets et s’allonge de façon à avoir le double de la longueur unité.
• La seconde étape, chacun des deux paquets, issu de la première étape, se décompose en deux paquets, l’électron s’allonge encore quatre fois la longueur unité.
• La troisième étape, chacun des quatre paquets, issu de la deuxième étape, se décompose en deux paquets, l’électron s’allonge encore davantage huit fois la longueur unité.
• La quatrième et dernière étape, les huit paquets, issus de l’étape précédente, se décomposent chacun en deux paquets, l’électron atteint dans cette étape son allongement total pour avoir seize fois la longueur unité.
En phase de réduction de la masse, l’électron rétracte les charges transformées en masse à l’inverse de la décomposition. En premier, il regroupe les seize paquets unitaires, deux à deux, en rétractant sa longueur de moitié, puis il regroupe une seconde fois les huit paquets doubles, deux à deux, en rétractant encore sa longueur de moitié, ensuite il regroupe une troisième fois les quatre paquets (composés chacun de quatre paquets), deux à deux, en rétractant encore plus sa longueur de moitié, et enfin il regroupe les deux paquets (composés chacun de huit paquets) dans un seul paquet, en rétractant sa longueur de moitié pour se retrouver dans le référentiel unité.
En phase de décomposition, la masse de l’électron ne réapparait que progressivement en doublant à chaque étape, la masse réelle de l’électron c’est lorsqu’il aurait atteint son allongement total. Dans la première étape de décomposition la masse est deux fois la masse unitaire, dans la deuxième étape la masse double pour devenir quatre fois, puis huit fois dans la troisième et enfin seize fois la masse unitaire dans la dernière étape de l’allongement total. On pourrait se demander que si la masse de l’électron dans la première étape est deux fois la masse unitaire, alors la masse du paquet unitaire est la masse unitaire. Il n’en est rien, la masse du paquet unitaire où se regroupe toutes les charges est nulle, la masse unitaire n’a aucune existence sous la forme d’une d’identité distincte formant isolément une unité, on reviendra à cette énigme car c’est l’un des principes fondateurs du l’Univers.
Quelque soit un électron et quelque soit le nombre de charges qu’il renferme, il décompose ses charges et réduit sa masse pareil à l’exemple cité. Par exemple, la longueur de l’allongement total (resp. la masse réelle) d’un électron du dixième référentiel est (2p10) fois la longueur unité (resp. la masse unitaire). Deux électrons distincts, appartenant à deux référentiels différents, ont la même masse dans le premier référentiel égale à deux fois la masse unitaire, puis leurs masses doublent lorsqu’ils abordent le second référentiel, etc. La masse ne se conserve pas au cours de la décomposition de la charge, elle est en fonction du référentiel où se localise l’électron ou bien de la longueur de la décomposition et cela quelque soit la sommation de la charge. Les deux phases, décomposition de la charge et réduction de la masse, se répètent indéfiniment l’électron ne connaît pas de repos, si on ajoute à ce mouvement incessant la vitesse des interactions, elles se traduisent à des sauts qu’effectue l’électron. Plus qu’un électron décompose sa charge et plus que sa masse augmente, mais cette accroissement de la masse ne peut pas être perçu du fait que les deux phases se déroulent dans un laps de temps très infime, l’électron décompose sa charge en masse et la réduit, à peu près, en même temps. Ainsi, il est quasiment impossible de déterminer la masse réelle sans se raporter à un outil adapté.

L'utilisation des commentaires est désactivée pour cette note.